AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Le Deal du moment : -45%
PC Portable LG Gram 17″ Intel Evo Core i7 32 Go ...
Voir le deal
1099.99 €

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 

 Kota Langley

MessageSujet: Kota Langley   Kota Langley EmptyDim 23 Aoû 2015 - 13:09
Kota Langley
Kota Langley Fire Emblem
Messages RP : 33

Feuille de personnage
Argent (JSS): 600
Inventaire:
Kota Langley Empty
Nom : Langley

Prénom : Kota

Surnom (facultatif) :

Sexe : Masculin

Âge : 21 ans

Race : Humain

Classe (facultatif) : Épéiste/Mage noir

Provenance et habitat : Fire Emblem : Awakening, dans un village situé au nord de la capitale Ylisse

Physique : Kota est un jeune homme d’environ 1m80, il pèse environ 65 kg, ce qui lui vaut de se faire taquiner sans arrêt par les « grands musclés décérébrés » qu’il croise pendant les réunions des différents bataillons, ou dans la rue après une soirée bien arrosée à la taverne du coin, du moins, jusqu’à ce qu’il s’énerve et révèle ainsi une musculature étonnante pour son poids pourtant assez bas. Ses cheveux, surnommé par lui-même « crinière du roi des animaux » sont, comme indiqué par « l’excellent surnom » de leur propriétaire, en bataille. On pourrait même croire qu’ils forment une protection d’épines, pour éviter les attaques venant du ciel sur le champ de bataille. Ses yeux rouge flamboyant, représentent son ardeur, ainsi que sa combativité. Etant dans la section des chevaucheurs de pégases, malgré qu’il soit le seul homme de toute la section, il a de ce fait une cotte de maille ainsi qu’une veste en cuir tanné, dû au fait que le poids des chevaucheurs entre en ligne de compte quand il s’agit de monter un pégase, sa veste est étonnamment bien ajusté, lui permettant d’allier mobilité et défense. Il porte des bottes de cuir, en accord avec sa veste, il n’a pas voulu prendre de casque lors de la remise de l’équipement, après la cérémonie d’entrée, car il sied plus à une fille qu’a un homme. Dans son dos est présent un étui contenant Black Fang, une épée lui ayant été offerte par ses parents avant de partir pour s’engager dans les chevaucheurs de pégases d’Ylisse, il porte du côté droit de ses hanches, une petite besace contenant ses Tomes de magie qu’il appelle élémentaire, tandis que du côté gauche de ses hanches, se trouve son unique Tome de magie noir, scellé par une chaîne, rattachée à sa cotte de maille. Il a, dans le dos, une énorme brûlure, partant de son épaule gauche, jusqu’à sa hanche droite.

Caractère : Kota est du genre préventif. Il élabore souvent des sorties de secours lors des opérations à risque, de sorte à avoir le moins de perte possible. Doté d’une inventivité relativement utile, il arrive souvent que ce soit lui qui sauve ses camarades lors d’opérations en tout genre. Relativement à l’aise avec la magie, même s’il n’a jamais vraiment pratiqué. Les seuls fois où il a touché à un tome, il n’était pas effrayé, au contraire, il était même rassuré. Depuis peu, il a des réactions assez bizarres quand il utilise la magie noire « Nosferatu », lui-même ne comprends pas ce qu’il se passe dans ces rares moments, il lui faut alors du temps, ou bien qu’il subisse un choc, mental ou physique, pour se calmer. Pour cela, il ne l’utilise vraiment qu’en dernier recours. D’un naturel réfléchi, il évite les ennuis, tant que ça n’est pas pour des raisons personnelles ou pour aider une personne en danger, dans ce cas-là, il se jettera à corps perdu dans la bataille, et usera de toute sa ruse pour gagner le combat. Il ne fait pas de grosses différences entre femmes et hommes, dans le sens où ils les traitent tous de la même façon, sur un pied d’égalité, cela ne l’empêchant pas d’être galant. Il adore les animaux et aime être en leur présence, la préférant d’ailleurs à celle des autres humains, sauf pour ce qui concerne sa famille ou ses amis. Il aime que l’on soit neutre avec lui et non pas autoritaire, ni, au contraire, que l’on se rabaisse face à lui. À première vue, il parait froid, mais s’avère être quelqu’un de très compréhensible et d’agréable. Le seul problème étant qu’il est particulièrement rancunier, de ce fait, il n’oublie jamais de se venger, quel que soit la manière.


Histoire :

Partie 1 : Le début du périple

Comme chaque jour, de chaque semaine, il se réveilla avec une pensée pour ses parents, travaillant durs pour permettre à sa maisonnée de survivre en ces temps difficiles. Depuis quelques jours déjà, il avait pris la grand-route en direction de la capitale et la plus prestigieuse ville d’Ylisse, connue de tous, Ylisstol, afin de postuler pour une place dans la section des chevaucheurs de pégases. Un seul problème demeurait, les chevaucheurs de pégases… Tous sans exception, étaient des filles, d’où son appréhension lors de son arrivée au bâtiment de leurs ordres. Une dame, assez âgée, rabougrie, et ressemblant à une sorcière l’accueillie, lui demandant ce pourquoi, il était ici. Il lui répondit alors, en cachant un léger dégoût : « Bonjour Madame, je suis ici pour m’engager dans la section des chevaucheurs de pégases.» Elle arrêta de ranger ses papiers en fouillis sur son bureau, le fixant et pouffa de rire. Il ne savais que trop bien la raison de tout cela, un homme, postulant dans cette section, cela n'était encore jamais arrivé, du moins, de ce qu’il savait. Entreprenant alors de la fixer à son tour, et, voyant qu’elle n’arrêtait pas de rigoler, il s’esclaffa à son tour. Une jeune femme vint les accoster, pour cause, le raffut dont ils étaient responsables. Demandant quelle était la cause de tout ce vacarme, il fût surpris de la voir parler d’un ton ferme, en contradiction avec sa beauté apparente, la doyenne s’arrêta net, reprenant un air sérieux, elle lui répondit formellement : « Ce jeune ici présent souhaiterais intégrer la section des chevaucheurs de pégases, Madame.» Il comprit alors, à la tonalité de sa voix, que cette jeune femme n’était pas qu’une simple commère. La nouvelle le regarda, fronçant les sourcils, lui tâta le buste et les jambes, elle s’exprima : « C’est la première fois que je vois ça, un jeune homme voulant intégrer notre section, les us et coutumes de notre pays ont bien évolués… Petit, d’où viens-tu ? » Dans la hâte, il lui répondit : « Du nord Madame, je suis dans ma 13ème année d’existence. Je voudrais intégrer votre section.» Ce à quoi elle répondit.
« Es-tu sûr de pouvoir assumer les conséquences de tes actes. D’avoir sur tes épaules, la vie de chacune de tes co-équipières, de vouer une loyauté sans faille à ton pégase, si tu arrives à dompter et acquérir la confiance d’une de ces créatures saintes ? » Fort de ses convictions, et de son état d’esprit, il répondit alors, sans hésitation : « Oui Madame ! Je jure solennellement de vouer une loyauté sans faille à mon pégase, qui deviendra une partie de moi, de mon corps comme de mon âme. Je jure aussi de porter sur mes épaules le destin de chacune de mes co-équipières, et de me porter à leurs secours si elles sont en danger.» Il s’arrêtait de parler, voyant la chevaucheuse, le regard emplie de nostalgie : « Qui t’as dit que tu étais déjà engagé, jeune homme ? Tu dois déjà te trouver une monture, suis-moi, je vais te présenter à la gardienne des clés ».

Partie 2 : Le pégase héroïque

Ils allèrent ainsi voir la gardienne des clés, située, aux vues des marches que Kota descendait, à un niveau très inférieur au rez-de-chaussée. Au bout de quelques minutes, qui parurent durer une éternité pour le jeune postulant, ils arrivèrent enfin au niveau de la loge de la gardienne. Après avoir frappés, ils attendirent pendant quelques secondes, avant qu’une femme, trop belle pour exercer ce métier disgracieux, leur ouvre la porte. Une fois rentrés, Kota fût distrait par la découverte d’une immense salle, où se trouvait des tas de choses dont il avait seulement entendu parler, et qu’il ne pensait ne jamais pouvoir observer de ses propres yeux, plus qu’une simple salle où l’on entreposait les objets trouvés, sorte de préambule à la véritable partie de la section protégé par la gardienne de clés. On pouvait déjà se faire une idée des choses que seul certains élus, ainsi que la gardienne, peuvent voir dans les pièces suivantes. Après s’être émerveillé de la sorte, il fut dur a Kota de retrouver ses esprits, mais à l’appelle de son nom, il se dirigea d’instinct vers la source du bruit, le petit trajet qu’il fît par la suite lui permit de retrouver ses esprits, la chevaucheuse l’appelait d’une voix portante « Kota, viens ici s’il-te-plaît, il faut que tu puisse voir ce qui t’attend, n’ai pas peur, nous n’allons pas te pousser à y aller si tu ne veux pas » Après être arrivé sur place, il vit par les barreaux d’une porte en fer, un destrier ailé, beaucoup plus imposant que ceux chevauchés par les filles de la section, ne pouvant retenir la question qu’il se posait, il demanda à la chevaucheuse « C’est un pégase, ou une autre race similaire ? » La gardienne lui répondit à la place de l’interrogée  « Oui, jeune homme, ce pégase est le seul que nous ayons pu sauver de braconniers chevaucheurs de wyverns, le pauvre, il était tellement affaibli qu’il ne pouvait même plus voler à la fin de la bataille, mais il est particulièrement robuste, beaucoup plus que les pégases que l’on peut voir lors des défilés, ou des opérations militaires, le seul problème, c’est que les épreuves qu’il a dû traverser l’ont rendu particulièrement méfiant vis-à-vis des humains, peu de personnes peuvent l’approcher, ce qui est problématique quand il s’agit de le sortir, afin de le laisser se dépenser un peu dans la cour des pégases, ainsi que pour le nourrir, car il refuse de toucher a de la nourriture donnée par quelqu’un qu’il ne connaît pas, et, à vrai dire, pour l’instant, personne n’a encore réussi à le monter… » Après ce long discours, elle glissa un regard à la chevaucheuse, sans doute avait-elle déjà essayée, sans succès apparemment… Kota, touché par ce que le pégase a dû endurer, mais également terrifié a l’idée de pouvoir échouer si cette bête ailé ne le laissait pas être LA personne qui pourra la monter, décida de demander à entrer, et d’affronter ses peurs, car après être arrivé jusqu’ici, il était hors de question de faire marche arrière. Il en allait de son honneur, et de sa fierté. Kota entra donc dans la pièce, où seul le puissant destrier ailé lui tenait compagnie, lorsqu’il s’avança d’un seul et unique pas, il eut confirmation de ce qu’il redoutait le plus, le pégase avait peur de lui… Mais il ne se laissa pas abattre, et continua d’avancer, doucement, pas après pas, en callant instinctivement sa respiration sur celle du pégase, il se calma alors, et entra dans une espèce de transe, il pouvait sentir exactement ce que le pégase ressentait, il entrevit de la peur, de la haine, ainsi que du mépris, mais en cherchant, il trouva une infime lueur d’espoir, il sortit alors involontairement de cet état, qui l’avait d’ailleurs surpris, car il ne comprenait pas lui-même comment cela s’était produit, mais il préféra remettre ce problème à plus tard, pour que le pégase ne prenne pas le dessus sur lui, en sentant le doute et la peur qui régnaient en lui, mais dont il arrivait à réguler le flot. A un peu moins d’un mètre de distance, son cœur était sur le point d’exploser, un seul faux pas, un seul geste brusque, et le pégase pouvait prendre peur, et refuser de se laisser monter, sans oublier le fait que, même s’il arrivait à l’approcher suffisamment, il n’était pas sûr de pouvoir le chevaucher par la suite, car personne, pour l’instant du moins, n’avait encore réussit a le monter… Il prit une grande bouffée d’air pour se calmer, et recala sa respiration sur celle du pégase aussitôt qu’il fût calmé, après avoir entrevu et examiné en détails les pensées du pégase, il savait désormais quoi faire, il suffisait juste qu’il soit « lui », il adopta alors un tout autre comportement, fier de ses capacités de déduction, il esquissa un petit rictus triomphant sur le côté droit de son visage, le pégase le regarda, il semblait intrigué par Kota, qui, lui-même, était intrigué par le pégase. Il fixa donc le pégase, pendant plusieurs secondes, immobiles, les deux êtres se regardaient, droit dans les yeux, sans aucune animosité, quand ils furent tout deux satisfait de ce moment, ils clignèrent chacun des yeux, Kota en profita pour faire un pas, plus bruyant que ceux auxquels il avait eu recours il y’a peu, afin de tester  les nerfs du pégase, celui-ci recula, se cabra et henni, la chevaucheuse et la délicieuse gardienne accoururent dans la salle et virent Kota en danger, « menacé » par le pégase, le jeune homme leurs fit signe de ne pas intervenir. Sifflant un air qu’il avait appris étant petit, les nouveaux arrivants ne comprirent pas à quoi cela rimait, mais le résultat fût que le pégase se calma et le fixe avec défi, à la fin de son air, Kota toisa à son tour le pégase, puis, avança, tout en le fixant, d’un pas léger, mais soutenu, le pégase esquissa un léger mouvement en arrière, mais ne recula pas pour autant, intrigué par ce que le jeune homme allait faire. Kota, lui, savait depuis qu’il avait compris les sentiments du pégase comment cela allait se terminer et le pégase le sentait. Kota était à moins de cinq centimètres de la tête du pégase, il sentait son souffle chaud sur son buste, le pégase leva la tête, il vit une expression a mi-chemin entre la peur et l’espoir, il ne put s’empêcher de lui caresser la tête, puis de poser son front contre le sien, il sentit alors le pégase se décontracter, il en profita donc pour se glisser sur son flanc, et le chevaucher, les deux filles, postées à l’entrée de la salle n’en croyaient pas leurs yeux, le pégase avait accepté Kota, et se laissait monter par quelqu’un qu’il connaissait a peine, cette instant, marqua le début d’une grande amitié.

Partie 3 : Le village

Deux ans plus tard…
En permission, Kota était alors dans une tavernes des plus modestes, dans une bourgade près de sa ville natale, quand une chevaucheuse de son unité l’appela : « Kota, tu es là ? » Il se leva dès qu’il entendit le son de sa voix : « Oui Alissia, que t’arrive t- il ? » En voyant son air inquiet, il se leva en hâte, déposa quelques écus sur sa table et s’en alla la rejoindre. Elle le conduisit au campement provisoire qu’ils avaient établis quelques jours plus tôt, en arrivant dans la tente de commandement, il sentit la tension qui dégageait des commandants, n’y comprenant rien, il demanda alors à Alissia, d’un ton pressé : « Que se passe-t-il ?  Pourquoi le campement est en effervescence ? » Elle se tourna vers lui, les yeux emplis de mépris : « Nous avons eu vent d’étrangers suspects, formant un groupes, ils sont environ une quinzaine, des renégats sûrement, ils ne savent pas où s’arrêter, je ne connaît pas encore tous les détails, qui sait ce qu’ils sont capables de faire en étant si nombreux… ». A ses mots, il comprit toute l’ampleur de la situation, en étant si nombreux, ce soi-disant « groupe » n’avait encore rien fait, deux possibilités lui vint alors à l’esprit : Soit l’information est erroné, et ce ne sont que de simples étrangers, pèlerins, ou tout autre groupe de voyage. Soit ce sont effectivement des personnes voulant nuire à l’empire Ylissien, dans ce cas, ils devraient tous passer à l’action pour les en empêcher, le problème, c’est que la garnison ne comptait qu’une dizaine de chevaucheuse, si les ennemis potentiels savaient se débrouiller avec les tomes, ou des arcs, la victoire serait difficile, pour couper court à toute l’agitation, Kota s’exclama haut et fort : « Quand partons nous afin de vérifier cette information Chef ? ». À cet instant, la chevaucheuse en chef, ainsi que sa sergente, fixèrent ardemment Kota, elles échangèrent un regard puis la sergente répondit aussitôt : « Kota, l’information n’est plus à vérifier… Ils sont passés à l’attaque, en tuant des villageois de cette paisible bourgade, ils se dirigent maintenant en direction de ton village natale, nous avons envoyés Méa et Alice prévenir la population, mais elles n’y seront peut-être pas à temps, nous avons besoin qu’une escouade aille leur prêter main forte, Kota, tu partiras avec Alissia, et Etna, préparez-vous au plus vite, et partez dans la foulée, n’oubliez et ne négligez rien, le moindre objet peut être vitale. »  Après s’être regroupé une fois leurs préparatifs terminés, le groupe partis en direction de la ville natale de Kota, celui-ci, filait aussi vite qu’Ebène, son pégase, lui permettait. De par sa robustesse incontestée, ses compagnons d’armes avaient bien du mal à le suivre. Aucun ne disait mot, plus ils avançaient, plus ils redoutaient ce qu’ils allaient trouver en arrivant au village s’ils n’arrivaient pas à les intercepter a temps. De plus, aucun signe de Méa et Alice, cela pouvait signifier deux choses : Soit l’évacuation était en cours et elles aidaient. Soit elles étaient en plein échauffourée avec le groupe ennemi.        
Une fois le village en vue, Kota fût pris d’une énorme douleur dans la poitrine, son cœur le brûlait. Voir son village en feu le réduisait a l’état d’enfant apeuré, plus la troupe s’approchait, plus les détails se remarquaient, les maisons en feu, les silhouettes sautant des étages, pensant pouvoir échapper à une mort atroce, alors que plus bas, devaient probablement les attendre leurs ennemis, en train de rire de leurs souffrances. À cette pensée, Kota fit accélérer Ebène d’avantage, distançant le reste de son groupe. Il arriva très vite à l’entrée du village et remarqua les cadavres jonchant l’allée centrale, le sang recouvraient chaque parcelles de terre, à la vue de ce spectacle macabre, il ne put s’empêcher de vomir le peu de choses qu’il avait dans l’estomac, ayant pas eu le temps de se restaurer à la cantine du soir. Ses alliées arrivèrent eux aussi à l’entrée du village et, spectatrice de la funeste scène, eurent un haut-le-cœur eux aussi. Alissia se précipita vers Kota, inquiète au vue de son état depuis le début du voyage, suivit peu de temps après par Etna. Il était affaiblis, moralement et physiquement, la seul chose qu’il put leur dire fût : « Ce n’est rien, laissez-moi un peu seul, juste… quelques minutes, s’il-vous-plaît… » Etna et Alissia reculèrent et allèrent chacune de leurs côtés examiner la zone, en ayant au préalable prévenus leurs pégases de rester en alerte ainsi que de survoler le périmètre afin de trouver les individus qu’ils recherchaient. Les pégases s’exécutèrent survolèrent la ville. L’allée centrale était étrangement calme, beaucoup trop pour un village en feu, qui, d’ordinaire, est si vivant. Kota eu toute les peines du monde à se relever, mais une fois debout, il alla caresser Ebène, qui comprenait ce que ressentait son montre, via leur lien étroit, il se rapprocha et enveloppa son chevaucheur de son aile gauche, ce geste apaisa Kota. Remerciant Ebène, il entreprit d’inspecter les environs quand un cri de désespoir ce fit entendre, réagissant au quart de tour, Kota se précipita vers le son sur le dos de son destrier. Aussitôt arrivé sur les lieux, il vit Méa, dont le destrier était gravement blessé, au front avec deux ennemis, portant des capes pour masquer leurs visages, il dégaina alors sa lance, et transperça le flanc gauche d’un des agresseurs, musclé, celui-ci pris sa lance, et fit tomber Kota de son pégase, rapide, il effectua une roulade et se releva aussitôt avoir été projeté à terre, sa lance brisée en deux, il lança le bout qu’il avait dans les mains, et dégaina son épée. L’autre agresseur, probablement une femme, sorti un tome et commença à réciter une formule, elle ne pût la finir, car Alissia lui transperça l’abdomen, elle tomba au sol, inerte. Son allié cria de rage et vint plaquer Alissia au sol, ne pouvant pas se dégager de cette masse de muscle, elle étouffait. Kota se rua vers l’ennemi, enfonçant plus profondément le bout de la lance encore présent dans son corps, avant de le retirer et de lui asséner un coup d’épée un plein cœur, l’homme tomba raide mort, en criant un seul et unique mot « Grima !!!». Tout ceux présents comprirent alors ce qu’il se passait, cette tuerie n’était pas uniquement perpétré par des bandits pour s’amuser, mais par des adeptes de Grima, ayant pour but de le ressusciter grâce à toute cette peur accumulé, du moins, cela devait sûrement être une des conditions requises pour son réveil. Alissia et Kota se précipitèrent aux côtés de Méa et de son pégase, qui peinait à se relever. Celui-ci avait perdu beaucoup de sang et ses blessures, nombreuses, laissaient à croire qu’il avait défendu sa maîtresse au péril de sa vie. Méa était là, impuissante face à cet événement, la seule chose qu’elle faisait était de pleurer à chaudes larmes, à cause de son impuissance. Kota tenta de la rassurer : « Tu sais Méa… Ton pégase est le plus têtu des pégases que j’ai vu. Il ne partira pas comme ça, ne t’en fais pas.» À ses mots, elle reprit ses esprits, le remercia et lui annonça qu’Alice était en train de se battre plus loin, dans le village. Alissia devança Kota qui d’eu aller retrouver Ebène, qui s’était mis à l’abri dans un renfoncement, une fois cela fait, il se mit en route. Il ne tarda pas à retrouver Alice, accompagnée d’Etna et d’Alissia, au front avec leurs ennemis, deux personnes du groupe de fanatique étaient d’ailleurs à terre. Le combat devait donc avoir commencé depuis quelques temps. À peine eu-t-il le temps d’arriver sur place que les filles avaient eu raison des disciples, elles avaient l’air d’aller bien. Il préféra donc aller faire une reconnaissance rapide, afin vérifier si sa maison était encore debout. Au détour d’un quartier, il aperçue sa maison, le lieu où il avait passé le plus clair de son enfance, encerclée par les disciples de Grima. Il eut juste le temps de voir les mains des guerriers-mages s’abattre, avant qu’un flash de lumière l’aveugle. Lorsqu’il rouvrit les yeux, sa maison était en feu, tétanisé par ce qu’il voyait, il ne pouvait plus bouger, seul les cris de ses parents le fit sortir de sa torpeur. Enragé par l’acte de ces êtres immonde, il fendit le ciel et empala un ennemi de son épée, au niveau de la cage thoracique, qu’il envoya sur un des autres disciples avant de se ruer sur un troisième guerrier et le trancher de toute la longueur de son dos. Suite à cela, les derniers disciples en vies se retirèrent, une personne s’arrêta cependant dans sa course, enlevant sa capuche et se retournant vers Kota, fou de rage. C’était une femme, pourvue d’une longue chevelure rousse et d’yeux bleus étincelants qui se trouvait devant lui. Kota se demanda si tout cela n’était qu’une blague de mauvais goût, si cela n’était qu’un mauvais rêve. Comment cette fille, ainsi que tous les disciples de Grima dans ce village avaient pu, en quelques minutes à peines, réduire tout son village en un vulgaire endroit sentant la charogne, les tripes, et l’odeur de bois brûlé ? Kota la fixa, ayant osé dévoiler son visage, il ni vu que le visage d’une parfaite inconnue, mais se jura de lui faire payer ce qu’elle avait fait à son village, à ses amis, à ses parents. Elle ouvrit la bouche et s’exclama d’une voix cristalline et douce, en contradiction totale avec ses agissements, ou du moins, en apparence : « Ceci est la volonté de Grima, lui seule à décider de perpétrer cette « boucherie » comme tu dois le penser, sache que ceci n’est que le début d’une nouvelle ère, remplie de combats, de sang, et de meurtres, ce n’est que le début jeune garçon, je te laisse la vie sauve, à toi, ainsi qu’à tes compagnons, mais ce n’est que par pur caprice. Je veux pouvoir me délecter de ta peine, de ton chagrin, le jour où tu me reverras et que je t’arracherai les membres, avant de te tuer, pour notre dieu Grima, le Dragon Déchu ! » Ayant finie sa phrase, elle s’éclipsa en lançant un sourire narquois au jeune homme, resté de marbre, de par la folie tentant de s’emparer de son corps. En contrant l’avancée de cette sensation jubilatoire, qui mène à la destruction et au chaos, il marcha d’un pas ferme et résolu vers sa maison, retira son armure à cause de la chaleur étouffante des lieux, ainsi que pour ses gestes dans les décombre de son ancienne demeure. Il se faufila donc entre les poutres enflammées et les pierres chaudes comme de la roche volcanique, afin d’arriver aux corps de ses parents. Il ne put se retenir de pleurer en contemplant les corps brûlés et mutilés de ses parents, ou plutôt, de ce qu’il en restait. Il n’eut nul besoin de sécher ses larmes, la chaleur ambiante les séchant pour lui. Il s’empressa de prendre le corps de sa mère sous son bras, cela le brûlait mais il ne ressentait rien d’autre que de la chaleur, il ne ressentait plus aucune douleur. Sortant sans encombre de la maison et déposant le cadavre de sa mère sur le sol jonché du sang de ses ennemis, il ne perdit pas un seul instant et, retenant son souffle, s’engouffra de nouveau dans l’enfer de flamme, afin de sortir le corps inerte de son père. Le prenant sous son bras aussi rapidement que possible, il fonça vers la sortie, quand une poutre enflammée vint le taper dans le dos. Il vacillant et manquant de perdre connaissance, une force étrange, sans doute celle du désespoir, lui permis de trouver l’énergie nécessaire pour sortir des décombres de sa maison. Le coup lui avait permis de revenir à la réalité, aussi dure soit-elle, et c’était avec tristesse ainsi qu’avec rage, qu’il regarda maintenant les corps de ses deux parents, allongés sur le sol. Aucun mot ne pouvait exprimer sa peine et la frustration de n’avoir rien pu faire pour eux, les seuls sons qui sortirent de sa bouche furent des sanglots, qui laissèrent peu à peu, la place à un calme effrayant et, finalement, à un cri déchirant les ténèbres du ciel.
Alissia accourue en première, suivie d’Etna, Alice, et Méa. La première des jeunes femmes s’approcha de lui, demandant ce qu’il s’était passé, pourquoi il n’avait plus son armure. Elle aurait voulu également le questionner sur la cause de la brûlure, parsemée de sang, présente dans son dos partant de son épaule gauche et allant jusqu’à sa hanche droit. À cet interrogatoire, Kota répondit simplement par une autre phrase : «Rien… Il ne s’est RIEN passé Alissia ! J-J’ai trouvé ces villageois… Je ne sais pas qui ils sont mais sûrement ont-t-elles dû combattre ses disciples… Il y a également d’autres cadavres là-bas… Nous… Honorons leurs courages en leurs offrant une sépulture décente…». Déclarant cela, il leur cacha mille sanglots. Il n’était plus même. À part Ebène, il ne lui restait désormais rien. Cette pensée l’acheva, il chuta, fatigué de tous les combats menés jusqu’à lors. Las de toutes ces choses qui lui étant arrivés et de cette blessure au dos, qui lui faisait souffrir le martyr.

Partie 4 : Vengeance

Après cette bataille, plus rien était comme avant. Alissia s’était de plus en plus rapprochée de Kota, tant et si bien qu’ils se marièrent quand ils eurent vingt-et-un ans. De cette union naquit deux enfants : Une fille, aux yeux d’une couleur si argentée, qu’ils paraitraient sans couleur et aux cheveux brun comme sa digne mère. Ainsi qu’un garçon, aux yeux d’un bleu profond et aux cheveux blond vénitien, comme la mère de son père.
Le temps passait. Ebène, son destrier ailé, n’était plus aussi craintif qu’avant, se laissant monter par Alyssia, sa femme, et jouant même avec leurs deux enfants. Kota passait des jours paisibles et semblait n’avoir plus aucune séquelles de l’évènement meurtrier, survenu il y’a de cela, environ trois ans. Seule la marque dans son dos, lui rappelait ce qu’il s’est passé, l’empêchant d’oublier. Il avait, après la naissance des faux-jumeaux, cessé de broyer du noir. Cependant, Kota était hanté par un drôle de rêve. Il se voyait, devant son actuelle maison, réduite en cendres devant laquelle gisaient les cadavres démembrés d’Alyssia et de leurs deux enfants. Le cauchemar est de plus en plus insistant, détaillé, et s’imposait de plus en plus longtemps dans son esprit après son réveille. Tout cela lui rappelait ce qu’avait dit la disciple de Grima. Pourtant, les propos lui étaient destinés, pourquoi n’était-ce pas lui qui apparaissait démembré..?
Peu avant l’arrivée de ses co-équipières lors de l’incident, il avait ramassé un tome Nosferatu sur le corps sans vie d’un des disciples. Il s’était, depuis tout ce temps entrainé, à l’utiliser avec toute la motivation qu’il pouvait déployer. Il voulait être prêt quand il reverrait cette « fille », il voulait la faire souffrir tout autant que lui, mais ce « petit passe-temps » était risqué, car, après tout, si la magie noire est si puissante, c’est parce qu’elle corrompt le cœur et l’esprit de son utilisateur. Ce fut durant trois ans qu’il s’entraînait en cachette et les résultats étaient satisfaisants. Il arrivait à utiliser ce tome avec une facilité déconcertante, c’était comme si le tome avait senti tout le dégoût que lui inspirait la disciple et le laissait l’utiliser. Ce n’était qu’une partie du problème, la plus grande difficulté restant de réussir à garder son esprit parfaitement sain lors de l’emploie de ce dernier. Ce tome avait la faculté de prendre l’énergie vitale d’un ennemi afin de se l’approprier. Ce problème était dur à palier, Kota faisait des tests sur des rongeurs et les résultats étaient concluants, mais comment serait-il en situation de combat, avec l’adrénaline car, au final, absorber l’énergie vitale de quelqu’un revenait-il pas à s’emparer d’une partie de lui, une partie de son âme ? Cela le tétanisait, il ne pouvait qu’écarter cette pensé et se concentrer pour l’instant sur le maniement du sort afin d’en accélérer le temps d’incantation.
Depuis le jour où il avait fait ce fameux rêve. Kota n’avait cessé de chercher des indices concernant la localisation de cette femme. Signalement, rumeurs, histoires de rues, rien ne lui échappait. Si bien qu’il était parvenu à trouver un début de piste. Il allait enfin pouvoir se venger d’elle et peut-être, ainsi, empêcher son cauchemar de se réalisé. Famille et régiment fut prévenu d’une absence, courte de quelques jours pour problème personnel qu’il ne pouvait régler que seul. Il se dirigea dans les bas-fonds d’une ville à une dizaine de kilomètres au sud de la sienne. À son arrivé, il entra dans une taverne. Vêtu d’un épais manteau comportant une capuche cachant son visage afin d’éviter d’être repéré, durant un temps tout du moins, il alla voir le gérant du bar. Lui murmurant dans l’oreille « Grima…», le gérant changea tout de suite d’expression. Souriant, il l’emmena dans une pièce à l’écart de la grande salle où les voyageurs venaient dépenser leur or. Lorsque l’homme le laissa entrer dans la salle, il sût qu’il ne s’était pas trompé, car emparer par le même sentiment de dégoût qu’il avait éprouvé cette fois-là. Oui, c’était sûrement ici que tout allait prendre fin.
A l’abri des regards indiscrets, cette salle était parfaite pour fomenter un complot, quel qu’il soit. Quand il entra, les sept personnes présentes dans la salle le regardèrent de haut en bas. Un long moment de stress s’ensuivit ensuite pour Kota, ce qui ne dura pourtant que quelques secondes à peine, lui parut une éternité. Passé ce moment « intense », il alla s’asseoir à une table, seul, et sortit son tome, qu’il ouvra, simulant une lecture afin de se fondre dans la masse. Une personne vint le voir, cette personne, c’était la fameuse disciple : « Tu sembles être nouveau, ta carrure ne me dit rien, montre-moi ta tête afin que cela me revienne peut-être. » Kota fit un blocage, elle ne savait pas ce qu’il allait arriver. Il lui répondit d’une voix en désaccord total avec ce qu’il était en train de ressentir actuellement : « Si je garde ma capuche, c’est par respect pour vous, je suis difforme de naissance… Cela ne s’est pas arrangé avec les humiliations et les coups que j’ai reçu de mes « anciens » camarades… Vous savez… Je les ai tous tués pour ce qu’ils m’ont fait subir… Je n’ai que faire d’une possible pitié que vous auriez vis-à-vis de mon être… De même pour le dégoût… Quoique cela ne saurait tarder…» Ces derniers mots, accentués par son désir vengeur, n’avaient pas été relevé par la femme qui lui fit signe que ce serait bon pour l’instant. Après tout, son tome de magie noire était un bon outil pour se fondre dans la masse, quoi de mieux pour un tueur que son couteaux ?
Le temps passa et l’atmosphère était lourde. Kota sentait qu’il fallait qu’une occasion, que « cette » occasion, se présente et vite. Subitement, comme si son vœux avait été entendu, ils se levèrent tous et formèrent un cercle au centre de la pièce carré. La disciple lui fit signe de venir, sachant parfaitement ce qu’ils s’apprêtaient à faire, il s’approcha. Ils allaient prier Grima, l’occasion qu’il attendait s’était présentée, il n’en n’aurait sans doute aucune autre. Sous peu, tout serait fini ou tout ne fera que débuter. Il se fit une place et commença à prier. N’ayant aucune idée sur le déroulement de la prière en cours, il mima une prière silencieuse ce qui, par miracle, fonctionna parfaitement. Attendant, c’était presque le moment, encore un peu et ils furent à la moitié de la prière. L’heure était venu de mettre son plan à exécution. Kota fixa la disciple qui se trouvait en face de lui avec force et conviction, puis sortit en un éclair deux dagues cachées sous son épais manteau et trancha les gorges des deux disciples situés à côtés de lui : « Deux de moins !» Dit-il en arborant un léger rictus moqueur sur le coin de sa joue droite. Poursuivant directement en lançant les deux dagues dans les têtes des deux disciples situés à gauche et à droite de la femme : «  Et de quatre ! » Dit-il en jubilant, la surprise avait laissé place au désordre et a l’incompréhension. Ils ne savaient pas quoi faire tandis que Kota, lui, savait parfaitement. Il se jeta sur le côté, pris une chaise au hasard et la fracassa avec force sur la nuque d’un disciple pris au dépourvu : «  Plus que deux ! » Il se prépara à trancher le sixième de sa lame cachée sous son épais vêtement, mais il fut projeté en arrière par une force inconnue. Il se releva et vit les deux disciples restants avec des tomes à la main. Il savait qu’un duel allait survenir, c’était presque un prérequis pour son plan. Il se jeta sur la table où il avait laissé son tome, l’attrapa au vol, l’ouvrit et commença directement à concentrer sa magie. Les disciples focalisèrent eux aussi leurs magies. Contrairement à eux, Kota, ne resta pas planté comme un piquet pendant qu’il canalisait, sachant ce qu’il adviendrait de lui, si la magie noire le touchait, une mort, sans nul doute, longue et douloureuse. Il se rua vers la disciple et la projeta au sol, puis, tout ayant fini son incantation, il lança « Nosferatu » sur le sixième disciple au moment précis où le disciple, touché, lança son sort. Kota ne put l’éviter entièrement et fût touché au niveau de sa brûlure. Heureusement, cela ne fut que superficiel contrairement au disciple qui se contorsionna et hurla de douleur, avant de tomber sur le sol, inerte. Kota se demanda si ça n’aurait pas été lui, à terre, s’il avait trop tardé à lancer son sort…  Mais le temps ne fut pas à cette réflexion. Immobilisant la disciple de sorte qu’elle ne puisse bouger ni les bras, ni les jambes, un sourire s’afficha sur son visage. Il avait gagné, il avait réussi à se venger de ses disciples de pacotilles à lui seul. Jubilant quelques instants avant de se reprendre, cela ne lui ressemblait pas, était-ce dû à l’utilisation de « Nosferatu » ?
«  Tu es finie ma grande, tu le sais ? » Dit-il à la disciple, tout en enlevant sa capuche. Elle le reconnut et fut sous le choc, comment est-ce que, lui, celui qu’elle avait épargné par pur caprice, avait-il pu la mettre dans une situation aussi périlleuse que celle-ci, c’était inimaginable. Elle le regarda, l’air impassible et lui déclara simplement : « Ce n’est pas fini jeune homme, sache que nous ne sommes pas seuls, il existe une multitude de groupe comme celui-ci, tu as peut-être gagné cette bataille, mais tu perdras les suivantes, d’une quelconque façon, tu souffriras, et je m’en délecterais aux côtés de notre seigneur Grima ! » Elle ria frénétiquement comme si la folie s’était emparée d’elle. Kota sortit sa lame, la lui plaça sur la gorge, approcha sa tête de son oreille droite et lui répondit tout aussi simplement : « Je le sais, mais pour le moment, j’ai ga-gné… GAAAAAGGNEEEEE !!!» Son dernier mot n’était pas naturel : *la folie s’était donc elle emparé de moi…* Pensa Kota, mais il ne laissa pas transparaitre son désarrois et trancha la gorge de la disciple alors qu’elle rigolait, si fort, à s’en rompre les cordes vocales.
Après s’être relevé et évalué l’ampleur des dégâts qu’il avait causés, les cadavres qu’il laissera derrière lui et le sang qui jonchait le sang. Un malaise s’empara de Kota qui vomit sur place. Après s’être remis les idées en place, il sentit un vide apaisant dans son cœur : Il avait gagné, il avait réussi à venger ses parents, son village. Il est heureux, il se sentait si léger qu’il aurait pu s’envoler. Ne pensant plus à rien. Pour lui l’instant présent et seul le réconfort lié à l’accomplissement de sa tâche le retenait en ce monde. Comme si l’univers l’avait compris, une faille, énorme et en forme de croix, apparût devant lui. Ne réfléchissant pas, il récupéra ses dagues, son tome de magie noire, ainsi que les tomes « Nosferatu » et « Feu » des disciples jonchant le sol puis s’engouffra dans la brèche. Elle se referma alors, emportant avec elle Kota trainant la disciple qu’il venait de tuer.        
À ce moment-là. Kota disparût, laissant derrière lui sa femme, ses enfants et son fidèle destrier.


Pouvoirs :

Magie ténébreuse : Kota utilise le tome de magie noire appelé Nosferatu. Il lui permet de blesser un ennemi s’il est présent dans un rayon de 7 mètres autour de lui et que Kota dispose d’un visuel. Kota absorbe ensuite une partie de cette énergie à raison de 50% des dégâts occasionnés. N’étant cependant pas adepte des arts sombres, son utilisation à certaines répercussions sur lui, il perd le sens des réalités durant le tour suivant. Il peut être ramené à lui, suite à un choc physique ou psychologique. La première utilisation demande trois tours puis deux tours entre chaque utilisation pour un total de 3 utilisation par combat.

Tome " feu " : Tome de magie de feu élémentaire permettant de lancer une boule de feu en ligne droite, sur 10 mètre devant lui, a une vitesse de 30Km/h, embrasant la cible au toucher. La première utilisation demande trois tours puis deux tours entre chaque utilisation, pour un total de 3 utilisation par combat.

Capacité spéciale :

Don de la nature : Kota à la faculté de se lier avec les animaux. Il crée un lien étroit de confiance avec un animal, lui permettant de communiquer avec ce dernier. Ils peuvent également s’échanger des pensées, cependant, si l’animal est en état de stress, Kota ne pourra percevoir que quelques bribes de « paroles », et ce, pendant un cours laps de temps.


Equipement / Armes / Objets :

- Black Fang : Une épée a une main, nommée ainsi en raison de son apparence allongée et pointue qu’une canine de smilodon, ainsi qu’à sa couleur noir obsidienne, dont seuls les parents de Kota connaissent le matériau ayant été utilisé lors de sa fabrication.

- Armure Pégase : Une tunique en cuir tannée que l’on recouvre d’une cotte de mailles. Correctement ajustée, elle ne limite pas les mouvements tout en offrant une protection correcte.

- Etui Noir : Etui dans lequel est rangé son tome Nosferatu. L’étui est scellé par une chaînette reliée a la cottes de mailles de Kota.


Des informations personnelles : Salut tout le monde, je suis un étusdiant de 18 ans, qui commence ses études post-bac, j’aodre jouer aux RPG ( Kingdom Hearts, FF, Disgaea, FE,Tales of, je pourrais au moins mettre une vingtaine de série ^^’ ), je suis venu sur le forum grâce à un très bon ami, qui s’appelle, attendez, laissez-moi réfléchir… Yst  Very Happy                         Ayant pas mal d’inspiration, je me suis dit qu’il fallait tenter le coup, je n’ai jamais fait de Rp sur des forums, alors je me suis dit que, après tout, vu comment il me parlait de la communauté et de l’ambiance décontracté/sans prise de tête du forum, je ne pouvais que m’y essayer ^^   Alors me voilà, j’espère qu’on s’entendra bien, et qu’on fera plein de bons Rp ensemble^^

Autres : Rien à signaler mon commandant !


Dernière édition par Kota Langley le Lun 24 Aoû 2015 - 15:10, édité 1 fois
Revenir en haut Aller en bas
MessageSujet: Re: Kota Langley   Kota Langley EmptyDim 23 Aoû 2015 - 13:18
Yst Decendia
Yst Decendia Fire Emblem
Messages RP : 324

Feuille de personnage
Argent (JSS): 150
Inventaire:
Kota Langley Empty
Le voilà, il est là. L'ami que je tente de ramener depuis un moment mais qui pédalait pour sa fiche.
Revenir en haut Aller en bas
MessageSujet: Re: Kota Langley   Kota Langley EmptyDim 23 Aoû 2015 - 15:14
Eirina Unysis
Eirina Unysis Kid Icarus
Messages RP : 245

Feuille de personnage
Argent (JSS): 2200
Inventaire:
Kota Langley Empty
Bienvenue  Hiiiii !

Yst ne t'a pas fait de mauvaise pub, tu vas te plaire ici ^^

Un perso intéressant, qui plus est de l'univers FE, hâte de RP avec toi o/



Ça me rappelle que j'arrive toujours pas à ramener mon cousin ici, il galère tellement avec sa fiche qu'il a abandonné ._.
Revenir en haut Aller en bas
https://www.youtube.com/channel/UClOLxG0XCOHtVu0qJklXjcw
MessageSujet: Re: Kota Langley   Kota Langley EmptyDim 23 Aoû 2015 - 19:43
Veralwynn Rayoue
Veralwynn Rayoue Kid Icarus
Messages RP : 99

Feuille de personnage
Argent (JSS): 1950
Inventaire:
Kota Langley Empty
Je te souhaite la bienvenue, même si j'ai plus fais de RP depuis Mai car je suis pas hyper motivé, et aussi car personne me propose rien et que j'ai la flemme de demander XD (Aussi car je passe ma vie devant les animés >>")
Un fan de KH <3
Zexion for All <3
Vivement le 3 <3
(Au cas où, ouais c'est ma série préféré XDDD)
Sinon, ton Perso est intéressant, je te (re)souhaite bienvenue, Kota Smile
Revenir en haut Aller en bas
http://la-sagesse-zexion.eklablog.com
MessageSujet: Re: Kota Langley   Kota Langley EmptyDim 23 Aoû 2015 - 20:51
Kota Langley
Kota Langley Fire Emblem
Messages RP : 33

Feuille de personnage
Argent (JSS): 600
Inventaire:
Kota Langley Empty
Merci beaucoup pour cet accueil chaleureux^^
Si tu veut, après un peu d'expérience sur le forum, je serai tout a fait partant pour un RP avec toi Veralwynn^^
Ne t'inquiète pas Veralwynn, je l'attends aussi avec impatience, j'ai réussi à obtenir la PS4 en prétexte en grosse partie vouloir jouer a KH 3, ce qui est TOTALEMENT VRAI xDD
Merci a toi aussi Eryna, il faut savoir que Yst m'a montré pas mal de RP, et que tu apparaissais dans pas mal de ceux-là justement^^
Donc j'ai hâte de RP avec toi aussi, même si je suis encore un débutant, et encore, je dirais plutôt un néophite xD
Donc en résumé, je suis vraiment content d'être enfin rentré (enfin j'espère que ma fiche sera acceptée^^') dans la famille dont Yst me parlait, tout en arborant des yeux pétillants^^
J'ai hâte de faire des RP avec vous tous! Smile
Revenir en haut Aller en bas
MessageSujet: Re: Kota Langley   Kota Langley EmptyDim 23 Aoû 2015 - 20:59
Veralwynn Rayoue
Veralwynn Rayoue Kid Icarus
Messages RP : 99

Feuille de personnage
Argent (JSS): 1950
Inventaire:
Kota Langley Empty
Ouais Very Happy
Sinon, moi aussi je voudrais une PS4 juste pour KH3, mais je pourrais sûrement pas Sad
Dommage, plus le temps passe et plus je l'attend, même si je regrette l'absence des Commandes Réactions et de la Ville d'Halloween, car à part le Colisée de l'Olympe, tout les univers Disneys seront nouveaux :/
Revenir en haut Aller en bas
http://la-sagesse-zexion.eklablog.com
MessageSujet: Re: Kota Langley   Kota Langley EmptyDim 23 Aoû 2015 - 21:13
Eirina Unysis
Eirina Unysis Kid Icarus
Messages RP : 245

Feuille de personnage
Argent (JSS): 2200
Inventaire:
Kota Langley Empty
Contente de voir que je suis pas la seule à faire lire mes RPs à mes amis x) ...
Et t'inquiète, j'ai débuté ici aussi ^^
Revenir en haut Aller en bas
https://www.youtube.com/channel/UClOLxG0XCOHtVu0qJklXjcw
MessageSujet: Re: Kota Langley   Kota Langley EmptyDim 23 Aoû 2015 - 21:31
Veralwynn Rayoue
Veralwynn Rayoue Kid Icarus
Messages RP : 99

Feuille de personnage
Argent (JSS): 1950
Inventaire:
Kota Langley Empty
Idem, j'ai aussi débuté ici, et sans me vanter, c'est même moi qui a un peu marqué le départ du forum XD
Revenir en haut Aller en bas
http://la-sagesse-zexion.eklablog.com
MessageSujet: Re: Kota Langley   Kota Langley EmptyDim 23 Aoû 2015 - 22:45
Maître des Trophées
[MJ]-Sylver
[MJ]-Sylver Super Smash Bros
Messages RP : 86
Kota Langley Empty
Bienvenue !
Merci à Yst du coup.

Je dois avouer que j'étais pas loin de supprimer le compte puisqu'il était inactif et sans message depuis plus d'un mois, mais t'as eu de la chance. 8D

Alors là j'ai envie de dire "pavay caysar !" Surtout pour l'histoire, mais bon j'ai vu pire niveau longueur donc ça va. Rien à redire pour la partie description, je passe à la partie combat.

Nosferatu est plutôt bien décris et je n'aurais pas grand chose à dire, mis à part que 5 utilisations cela me semble un peu trop. il faudrait baisser à 4 (j'hésitais avec 3 mais bon c'est ton seul pouvoir et il fait partie de ton histoire, vais pas trop rabaisser le truc donc).

Le don de la nature est bon, je suis curieux de voir l'utilisation que tu en feras !

Pour la magie évolutive, vu la description cela ne sert à rien de gâcher un emplacement pour cela, c'est un procédé que tu dois garder pour toi. Si tu veux justement améliorer un pouvoir, il faudra m'en faire la demande le moment voulu. Tu peux donc enlever cette capacité et remplacer par autre chose si tu veux.

Rien à signaler pour l'équipement.

Préviens-moi après avoir fais tes changements et me poser des questions si besoin.
Revenir en haut Aller en bas
https://super-smash-heroes.forumactif.org
MessageSujet: Re: Kota Langley   Kota Langley EmptyLun 24 Aoû 2015 - 15:13
Kota Langley
Kota Langley Fire Emblem
Messages RP : 33

Feuille de personnage
Argent (JSS): 600
Inventaire:
Kota Langley Empty
C'est bon, ma fiche est mise à jour, par contre, au lieu de rajouter une capacité spéciale, à la place de Magie évolutive, j'ai préféré rajouter un pouvoir, pour voir si, par la suite, une capacité spéciale me venait à l'esprit, j'ai donc modifié Nosferatu pour le mettre a 3 utilisations, vu que j'ai donc pris un deuxième pouvoir, j'espère que ce sera bon^^
Revenir en haut Aller en bas
MessageSujet: Re: Kota Langley   Kota Langley Empty
Contenu sponsorisé
Kota Langley Empty
Revenir en haut Aller en bas

Kota Langley

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 2
Aller à la page : 1, 2  Suivant

 Sujets similaires

+

Design et codage du forum réalisés par Sylv'Allion